« C'est [aussi] le reflet d'une demande étrangère qui est au ralenti. C'est la même chose partout dans le monde, et ça s'est reflété particulièrement au 3e trimestre au Canada. La demande intérieure est anémique, les dépenses de consommation qui rencontrent certaines difficultés », poursuit l'expert, qui prédit qu'une « légère récession » pourrait survenir.
Ce n'est pas par plaisir qu'on ralentit l'économie canadienne et québécoise, mais c'est pour ralentir les pressions à la hausse sur les prix qu'on observe depuis un certain temps. On s'en va dans la bonne direction, c'est quand même la bonne nouvelle », a dit l'expert de Desjardins.