Les tensions financières se font sentir alors que la vie devient plus coûteuse au Québec.
Les hausses notables des prix alimentaires et des logements signalent une récession, puisque le PIB est en recul depuis deux trimestres consécutifs.
Cependant, cette interprétation divise les experts : certains estiment que d'autres indicateurs, comme l'emploi, sont essentiels pour déclarer une récession.
Mais, dans les faits, même si le gouvernement refuse d'utiliser ce terme, le Québec est officiellement en récession.
Voici d'ailleurs l'avis de Simon Brière, qui est stratège de marché chez R.J. O'Brien: